En ce qui concerne le domaine médical, il est important d’intervenir. En effet, on constate que deux lits sont disponibles pour 1000 habitants dans le pays. Ashdod, 5ème ville d’Israël, ne dispose pas d’hôpital ni de service d’urgences et compte à son actif très peu de médecins. Résultat : la population doit se déplacer dans les villes voisines pour accéder aux services d'un hôpital, mais, depuis 2006, un hôpital est en construction.
Comme ce qui a été établit par le Conseil Local de santé à Bordeaux depuis l'année 2000, il serait opportun d'encourager la ville d'Ashdod à suivre la même politique de santé. En effet, tous les deux ans, la Conférence Locale de Santé "A Bordeaux, la santé, on en parle", permet d’engager autour des acteurs locaux un débat public sur le thème de la santé, la prévention, et également d'informer la population sur les ressources locales et de recueillir son avis et ses attentes.
Dans un avenir proche, la mairie de Bordeaux en partenariat avec le centre hospitalier universitaire pourrait partager ses connaissances en médecine, apporter ses richesses sanitaires et médicales et ainsi organiser des séminaires de formation à Ashdod portant essentiellement sur les services traumatiques, orthopédiques et pédiatriques ainsi que sur les urgences générales. (Il s'agit des services pressentis dans le cas de l'ouverture d'un centre médical à Ashdod.) Il serait par la suite intérressant d'envisager un échange entre étudiants en médecine entre les deux villes.
Cette proposition est d'autant plus pertinente que les besoins dans la ville d'Ashdod dans le domaine médical sont réels et que Bordeaux dispose d'un centre hospitalier renommé.
Image de synthèse du medical center, actuellement en construction à Ashdod
Vidéo source http://www.youtube.com/
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